Au départ, il y a cet article publié dans le magazine mensuel gratuit « La Gazette de Besançon ». Son titre : « [SE BALADER À BESANÇON EN BURQA : UN JEU D’ENFANT->http://www.gazette-besancon.fr/2011/10/11/se-balader-a-besancon-en-burqa-un-jeu-d%E2%80%99enfant/]… »
En burqa… disons plutôt en « niqab » ou en « sitar » puisque – comme l’explique la journaliste auteur de l’article – la burqa n’existe qu’en Afghanistan.
La journaliste en question c’est Céline Garriges qui a décidé de se vêtir le temps d’une balade dans les rues bisontines du voile noir.
Pourquoi cette idée saugrenue ? Réponse dans l’introduction de l’article :
«{Depuis le 11 avril 2011, le port de la burqa dans la rue est une infraction. Le texte de loi, qui indique que « nul ne peut, dans l’espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage » prévoit une amende pouvant aller jusqu’à 150 euros. Alors que les premières condamnations en justice pour port du voile intégral tombaient le 22 septembre dernier, nous avons voulu observer la réalité du terrain à Besançon. Notre journaliste s’est glissée le temps d’un après-midi sous le long voile noir opaque.}»
Lire [l’article complet sur Le Bisonteint->http://bisonteint.net/2011/10/19/une/voile-integral-des-policiers-de-besancon-risquent-ils-detre-sanctionnes-pour-ne-pas-avoir-verbalise/]